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« … allez-y, c’est simplement du théâtre à vous accrocher un sourire au bout de l’âme… Ils s’apprêtent à donner au mythe fondé par Molière, une vision des plus modernes : un Dom Juan, accoudé sur le zinc d’une rade propice à la drague, à la tchatche et aux bastons, sur fond de rock’n’roll qui imprimerait son rythme à un monde si difficile à faire danser. » R.D. / Midi Libre – 28 juin 2000
« … un spectacle absolument époustouflant, drôle, émouvant et très actuel… Il y a le talent, une envie de jouer énorme, un amour du public et une fraîcheur qui montrent tout l’excellent travail de cette troupe…C’est un théâtre que l’on aime parce qu’il touche au plus profond de vous puisque joué sans artifices, sans machinerie lourde… » Richard Frech / La Marseillaise – 13 mars 2000
« Agnès Régolo a bâti là une petite légende à garder au chaud, sous le cuir noir du perfecto… Ces moments de tensions et de ruptures, où les pulsions mènent une sarabande d’enfer superbement maîtrisée confèrent à ce mortrait d’une société taraudée par le manque, une attitude, des poses que l’on croyait oubliée. Comme au bon vieux temps du rock’n’roll. » René Diez / Midi Libre – le 13 mars 2000
« … On rit beaucoup, fort, du fond du coeur… Un spectacle fluide, modernisant un mythe, n’en conservant que l’essence. Intéressant, stimulant, à découvrir sans faute et à faire découvrir aux plus jeunes qui ne pourront faire autrement que de « savourer » Molière (sous la griffe d’Agnès Régolo). » Sonolet / Var-Matin – le 4 mars 2000
« Un espace clos, où la vie se précipite… Un déferlement d’émotions prises sur le vif, entraîné sur le rythme effréné du rock’n’roll. » Midi Libre – 6 mars 2000
« … c’est du théâtre courageux, engagé, militant même, populaire au sens noble du terme, du théâtre séduisant qui devrait conquérir des spectateurs en déshérence sans y perdre son âme, sa substance. » Alain Pécoult / Agora Pièces 2000
« … moment de bonheur garanti avec le spectacle de la Compagnie Mises en Scène… Beau décor astucieux et design où le public est installé comme dans un Grand Café autour d’une scène semi-centrale comme improvisée. » Fanz’yo – Avril 2000
« … un spectacle lumineux, généreux, nerveux… Assis à vos petites tables et buvant un verre sous les étoiles, ce n’est pas un mais cinq séducteurs qui vous entourent. » Danièle Carraz / La Provence – le 1er juillet 1999
« Une rigueur de jeu, un rythme rapide qui ne se relâche plus, présence forte du corps, improbable proximité, presqu’à se toucher, avec le public, une façon anguleuse de se mouvoir… Vont dès lors être les éléments marquants d’un « Dom Juan » en rupture avec les codes de représentation sur le mode traditionnel… Au point qu’on se demande si c’est de la même pièce qu’il s’agit, tellement cela se fait dans la fluidité et l’évidence. » Jean-ph Faure / Le Chant des Ocres – juillet 1999
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